• En rouge et noir ...

     93 rue Jean-Pierre Timbaud - 75011 PARIS

     

    A quelques pas de l'agitation de la rue Oberkampf, je bute sur une sympathique terrasse extérieure. Les tables rouges "féroce" annoncent la couleur, c'est le  Cannibale Café !

     

      >> Le Cannibale Café , site web

     

     

     


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  • René Maltête, le photographe qui déclenche le sourire ….

    Photo : © René Maltête, In "Paris des Rues et des Chansons", Édition du Pont Royal, Paris, 1960 

     

    Je porte un grand intérêt aux photographes humanistes et on connait mon admiration pour Willy Ronis qui, pour moi, est clairement leur chef de file.
    Au côté de Willy, nous avons les célébrissimes Doisneau, Boubat, Izis, Brassaï et d'autres moins connus mais tout aussi représentatifs de ce courant comme Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Janine Niepce, Sabine Weiss, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier, Édith Gérin,  Ina Bandy, André Papillon, Léon Herschtritt, Jean-Louis Swiners ou encore Eric Schwab ...
    Tous ont eu droit sur Parisperdu à des billets plus ou moins détaillés.

    Mais aujourd’hui, je voudrais y ajouter René Maltête un photographe discret, stagiaire aux côtés de Jacques Tati et Claude Barma dans les années 50, puis membre de l’agence Gamma-Rapho dans les années 60.

    Maltête est un incontournable de la photo de rue dont les clichés sont souvent très connus, bien plus que son nom. Pourquoi et comment me direz-vous ?

    Tout simplement parce que Maltête est un grand, un très grand "photographe de rue" et cela avant même que le terme ne devienne à la mode. Tout comme Ronis, il capture la vie mais il y ajoute systématiquement une touche de fantaisie, on peut reconnaitre-là l'élève de Jacques Tati … ! A la vue d'un cliché de René Maltête, votre sourire va invariablement se déclencher, le photographe a fait mouche … Et c'est à ça que l'on reconnait le travail de Maltête : des images drôles et insolites, bourrées de clins d’œil …


    >> Les photographes humanistes sur Parisperdu.

    >> La grande expo des Humanistes.

    >> Patchwork de photos de René Maltête.

     


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  • La place "sans nom" va-t-elle finir par en avoir un … ?

    Vue sur la place circulaire, à l’intersection des boulevards de Picpus et de Reuilly (Paris 12e), ©Google Image

     

    L’affaire débute il y a une quinzaine d’années, et déjà Parisperdu s'en était fait l'écho.

    Dans le 12ème arrondissement, les habitants du carrefour situé à l’intersection des boulevards de Reuilly et de Picpus, et des rues de Picpus et Louis-Braille, se rendent compte que cet espace, avec en son centre un rond-point, n'a pas l'honneur -comme toutes les places dans Paris- de porter un nom. Aussi les habitants du secteur ont pris l'habitude de la désigner comme la place "sans nom".

    Et voilà que le 25 novembre dernier, les élus de l’arrondissement ont proposé au Conseil municipal de Paris, d'officialiser cette appellation.
    La place sans nom aura donc un nom, elle s'appellera la "Place Sans-Nom" … Vous suivez ? Car l'histoire se complique encore … en effet, il est décidé que seule une moitié du carrefour aura droit à ce nom de "sans nom"! Pour l'autre moitié, il aurait été trop compliqué de modifier les adresses de certains riverains.

    Aussi bientôt nous aurons donc d'un côté, une "demi-place" portant fièrement le nom officiel de place Sans-Nom, et de l’autre, la seconde "demi-place, qui restera "sans nom" !

    Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué … ?

     

     

    >> La place sans nom, déjà sur Parisperdu.
     


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  • Square Forceval _ Paris 19ème

     

    Paris a besoin d'un nouveau crématorium car celui du Père Lachaise ne suffit plus à la tâche … Aussi la Mairie de Paris envisage - à l'horizon 2022 - d'installer ce nouvel équipement près de la Porte de la Villette, à la lisière de Pantin, là où n'habitent guère d'électeurs Parisiens …

    Pour construire ce crématorium qui émettra des fumées, plus ou moins "propres", il faudra détruire le square Forceval et donc abattre environ 70 arbres dont certains sont anciens et vraiment remarquables.

    Mais pourquoi choisir d'implanter un deuxième crématorium à l'Est de Paris ?
    Ne devrait-on pas plutôt l'installer au sud ou à l'ouest de Paris, dans une logique de rééquilibrage car "aucune étude scientifique n'a établi qu'on ne mourrait qu'à l'Est de Paris" ironise François Dagnaud, maire du 19ème arrondissement.

    Bref, le projet n'a pas été bien accueilli dans aucun des 12 sites parisiens qui avaient été envisagés, avant de retenir celui de la porte de la Villette. Il est vrai que dès que l'on prononce le mot crématorium, personne n'en veut …


    >> Page Facebook du Collectif Forceval.

    >> Non au crématorium à La Villette !

    >> Zone Villette, la rue Forceval et la cité Berthier: vidéo

     


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