Odette était ouvrière dans un atelier de mécanique de précision situé rue des Savies et, depuis 1963, elle habitait dans un modeste appartement, tout près de son lieu de travail.
Des promoteurs, avec l'aide de la ville, ont préempté son immeuble et Odette a été contrainte de déménager : "On m'a foutue dehors oui. On m'a dit : "Il faut que vous partiez." "Ça s'est passé d'une façon inhumaine, sans mettre les gants."
Pourtant, Odette avait pensé, qu'on la traiterait avec un peu plus de considération eut égard à son grand âge et à une vie entière consacrée à un travail souvent pénible.
Aujourd'hui, le simple fait de se remémorer les circonstances de ce déménagement aux allures d'expulsion, l'horrifie encore. Odette aurait tant souhaité finir sa vie à Belleville, là où elle avait connu tant de peines mais aussi quelques joies.
Sur son visage de "quatre fois vingt ans", comme elle aime à le dire ... tous ces évènements peuvent facilement se lire car ... ils y sont profondément gravés.
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