• Le "street-art" entre dans une tour du 13e arrondissement ...

     La Tour Paris 13, 5 rue Fulton, Paris 13e 

    Cette tour des années 60, défraîchie et vide de ses occupants, sera entièrement détruite début novembre 2013. Mais avant cela, et pendant sept mois, elle aura été investie par plus de 100 graffeurs, venus du monde entier et sélectionnés pour réaliser une première dans l'univers du "Street Art": réaliser en intérieur ce qu'ils font généralement en extérieur …

    Car de l'extérieur, en dehors d'un immense graffiti orange et noir, de 20 mètres de haut sur la façade, rien ne transparaît de tout ce qui a été réalisé à l'intérieur.

    Spécialisée dans le graffiti, la galerie parisienne Itinérance est à l'origine de ce défi artistique aussi fou qu'éphémère.

    Tout le mois d'octobre, le public pourra visiter cette œuvre d'art temporaire, avant sa destruction.

    Les visites sont gratuites et il n'y a rien à vendre …


    >> Le site officiel du projet "La Tour Paris13".

    >> Graffeur, ... est-ce un métier ?

     

     

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  • Commentaires

    4
    Audrey Whynot
    Mercredi 16 Octobre 2013 à 09:05
    Que fait la photo ?
    et que fait la photo ? Pixels moussus, modèle iconographique pour un gâteau "branché" ou la couverture d'un album de musique trash ? C'est là.
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    3
    Monique Denis
    Mercredi 9 Octobre 2013 à 18:23
    Horrible !
    LA FACADE VRAIMENT HORRIBLE ......
    2
    Gérard Dutertry
    Mardi 8 Octobre 2013 à 20:53
    Laid
    c'est encore plus laid que le linge aux fenêtres
    1
    Jean-Jacques Fourmon
    Samedi 5 Octobre 2013 à 21:23
    La tour, prends garde !
    Au rez-de-chaussée de cet immeuble, se trouvait naguère une station-service. A ce niveau, les "graffs" sont régulièrement renouvelés. A ma connaissance, seul persiste celui qui se trouve sur le côté droit lorsqu'on se trouve face au bâtiment. Il représente un peuple de clones, alignés à l'infini, dans un monde gris, sans terre et sans ciel, métaphore d'un monde peut-être à venir. Sans doute, les graffeurs ont-ils quelques scrupules à faire disparaître une oeuvre qui apparaît comme un terrible avertissement.
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