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    A l'instant où j'écris, le compteur de visite a déjà dépassé les 100 000 visites !

    Merci à vous, les fidèles, d'être aussi nombreux à revenir si souvent sur Parisperdu.

    Dès que je poste un billet, les organisés (comme moi !), ceux qui naviguent avec Netvibes ou avec d'autres lecteurs RSS, sont directement connectés à Parisperdu.
    Quant aux nouveaux visiteurs et aux visiteurs occasionnels, ils arrivent ici au gré de leurs recherches sur les moteurs (Google en tête), ou via le blog roll de blogs-amis ou encore via les spécialistes de la blogosphère (France Inter/Blog à part, Le Site du Jour, NetKulture, Côté Blog, Paperblog ...) qui tous, ont mis en avant Parisperdu.

    Et comme une bonne nouvelle s'accompagne souvent d'une autre : aujourd'hui le journal Le Monde a selectionné Parisperdu dans "Les invités du Monde.fr", sur Paris bouge-t-il? Le blog mobile de la rédaction du Monde.fr , avec le titre: "Sans cliché ...".

    Merci aussi aux bloggeurs (et bloggeuses) pour leurs commentaires, leurs remarques, leurs mails (que je reçois via le contact courriel), leurs notes qui font réagir, même si elles ne sont pas toutes écrites pour cela... !

     

    100 000 visites, ça fait quand même super plaisir ... Depuis maintenant 22 mois, Parisperdu s'installe petit à petit sur le web, et je l'espère ... dans vos favoris.

    Merci donc à tous, et comme toujours dans ces cas là, c'est l'occasion de ressortir le BEST-OFF... (N'hésitez pas -là aussi- à laisser vos commentaires !)
    Bonne visite, et ... surtout, restez fidèle à Parisperdu ! Le blog qui pose un autre regard sur Paris, ... loin des cartes postales.

     

     


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    ©Janine NIEPCE : Deux petites filles de la région de Houdan (1949)

     


    La photographe Janine Niépce est décédée à Paris, ce dimanche 5 août 2007. Elle avait 87 ans.
    Lointaine parente de l'un des inventeurs de la photographie Nicéphore Niépce, Janine Niépce avait choisi de fixer sur la pellicule, en noir et blanc, des gens ordinaires dans leur vie quotidienne, un travail qui la rapproche de Robert Doisneau et de Willy Ronis.

     

    >> 3 facettes du talent de Janine Niépce

    >> Janine Niépce déjà dans Parisperdu ...

     

     


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  • C'est à Thuir, dans les Pyrénées Orientales, que l'on peut découvrir ce magnifique édifice.

    Il s'agit de l'ancienne gare de triage des Caves Byrrh. C'est ici que les barriques arrivaient, par rail, de toutes les régions viticoles de France.

    L'architecture du lieu - 81 mètres de long et 20 de large - a été dessinée par Gustave Eiffel lui-même. On reconnaît d'ailleurs facilement sa "patte traditionnelle" lorsqu'on lève les yeux au plafond et qu'on aperçoit un enchevêtrement de tôles et de boulons, caractéristique de son savoir-faire et qui évoque bien sûr la Tour Eiffel et le Viaduc de Garabit pour ne citer que les ouvrages les plus célèbres de l'architecte.  

    Ici, depuis longtemps, les semi-remorques ont remplacé les trains, et ce sont des 38 tonnes qui aujourd'hui s'affairent dans ces lieux pour transporter vins et spiritueux.

    Comme seules traces du passé, il ne reste plus que les rails et ... une ancienne locomotive à vapeur. Ce lieu dégage une atmosphère un peu désuète, tout comme l'apéritif Byrrh qui n'est plus vraiment au goût du jour. D'ailleurs le groupe Pernod-Ricard, propriétaire des lieux et de la marque cherche à céder son site des Pyrénées-Orientales.


    >> Découvrez les caves Byrrh à Thuir (66)
       

    >> La gare de triage des Caves Byrrh en 1912. 
     

    >> Les caves Byrrh menacées ?

     

     


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    Ce 3 août 2007, Parisperdu a été sélectionné "Paperblogueur à la Une", par Paperblog, le meilleur des blogs....

    Tous les jours, Paperblog met en avant les meilleurs articles créés sur les blogs.
    Et, aujourd'hui, c'est Parisperdu qui est mis à la "une" par l'équipe de rédaction de Paperblog, une équipe animée par Céline, une amoureuse de Paris.

     

    >> En savoir plus sur Paperblog ...

     

     


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  • Presque tous les jours, Gilbert est là, à ce même endroit de la rue Azaïs, à deux pas du Sacré-Cœur, et il y joue de l'harmonica. Son répertoire est tourné vers les airs du Paris populaire, ceux de Francis Lemarque, de Mouloudji, ... mais son morceau préféré reste: "La vie en rose".

    Et pourtant la vie de Gilbert n'a pas toujours été rose ... Ancien régisseur d'un grand cabaret parisien dont il ne veut pas révéler le nom, il gagnait alors confortablement sa vie et habitait les beaux quartiers. Au tournant des années 80, une succession de désastres s'abat sur lui : il perd son emploi, sa femme le quitte et son fil unique se tue dans un accident de moto ... Gilbert essaiera de surmonter tout cela avec l'aide ... des alcools forts. Ils le rendront encore plus fragile ...

    Aujourd'hui, il survit tant bien que mal d'une maigre pension qu'il essaye d'améliorer ici, dans la rue Azaïs, avec son petit harmonica ...

    Les passants qui lui donnent une pièce sont sans doute plus sensibles à son physique dramatiquement, déformé par l'alcool, qu'aux notes un peu mièvres qu'il tire maladroitement de son modeste instrument.

     

     


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