• Pause au pays d'Aung San Suu Kyi.

     

    Parisperdu interrompt ses publications pour une quinzaine de jours. Juste le temps d'une pause au pays d'Aung San Suu Kyi.

    Prix Nobel de la paix, la "dame de Rangoun" aussi surnommée le "Papillon de Fer" par ses partisans a été faite citoyenne d'honneur de la Ville de Paris en juin 2004.

    Suu Kyi, qui a toujours les cheveux parés de fleurs, nous donne à réfléchir sur les élites de notre monde lorsqu'elle déclare: "Ce n’est pas le pouvoir qui corrompt, mais la peur : la peur de perdre le pouvoir pour ceux qui l’exercent"

     

    A très bientôt sur Parisperdu ….

     

     

    >> Dans les rues de Rangoun.

     

     

     


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  • Les rues de Paris sont un sujet inépuisable!

    Signalisation de rues dans le 19ème arrondissement.


    Avec plus de 5 000 rues, avenues, boulevards et autres impasses, les rues de Paris sont un sujet inépuisable.
    A raison de 5 billets par mois, ce qui est son rythme actuel de publication, Parisperdu mettrait 1000 mois pour épuiser le sujet, soit plus de 83 ans … autant dire une éternité !


    >> Les rues de Paris sur Parisperdu

    >> "Les deux boules", une rue méconnue de Paris …

     

     

     

     


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  • Boulevard de la Bastille_ février 2006

     

    Il fait nuit, il pleut … et dans la ville, l'animation se fait rare.
    Ne cumule-t-on pas alors les pires conditions pour la photographie de rue ?

    Peut-être pas ?

    A vous de juger …


    >> Voir aussi Paris Pluie

     

     

     

     


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  • La Butte Montmartre vue du  Centre Pompidou (juin 2002)

    Paris tout comme Rome ou encore d’autres villes sacrées de l’Antiquité serait bâti sur 7 collines.
    À l'intérieur de sa limite actuelle que constitue le boulevard périphérique, plusieurs reliefs, composés de buttes gypseuses, forment de petites collines de part et d'autre de la Seine. On trouve ainsi le Mont-Souris, la montagne Sainte-Geneviève (ancien mont celte Leucoticius), la Butte-aux-Cailles, Mésnil-Montant, Belleville, Montmartre (ancien Mont Mercure) et la colline de Chaillot. Soit 7 collines …

    Mais on peut aussi ajouter : la butte Bergeyre, Passy, Charonne, les Buttes Chaumont (incluant comme son pluriel le laisse entendre : la butte du Chapeau-Rouge), Montparnasse, et le Mont Louis appelé aussi "colline de Champ l'Evêque" et de nos jours "Le Père Lachaise".
    Et là, ça fait non pas sept, mais treize. Toutefois ce nombre étant beaucoup moins magique on lui préféra de tout temps le nombre sept qui symbolise l’achèvement du monde.

    Mais le décompte ne s'arrête pas là, si l'on se base sur un critère objectif: celui de  la hauteur. Et, si l'on retient la cote des 100 mètres comme une cote usuelle pour définir une colline, alors on ne compte plus que 5 collines: Montmartre, Belleville, Ménilmontant, Les Buttes Chaumont et la butte Bergeyre. Toutes les autres avoisinent seulement les 70 mètres et la plus basse c'est Sainte-Geneviève qui culmine à 61 mètres… et pourtant, elle reçoit le nom de "montagne" (!),


    Convenez avec moi que la vérité sur le nombre des collines parisiennes n'est pas facile à cerner …


    >> Les hauteurs de Paris.

    >> Les sept collines de Paris, un documentaire de Christian Bussy.

     

     


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  • Une ville toute en poésie.

    Villa des Lilas_Paris 19ème.

     

    Nous sommes dans le fameux secteur pavillonnaire de la Mouzaïa, un quartier qui vous fait instantanément penser que vous avez quitté Paris tant cette hauteur parisienne a l'exacte allure d'un calme quartier de province. Ici, les habitations hétéroclites sont desservies par de petites ruelles pavées nommées Villa.

    Une Villa, située sur le côté pair de la rue de la Mouzaïa, mérite une attention particulière, c'est la Villa des Lilas. Son calme, sa jolie enfilade de pavillons, ses petits jardins et son allée fleurie permettent l'évasion absolue !

    Mais si on est attentif, on remarque que les maisons situées en bordure de la rue Mouzaïa sont sensiblement plus grandes que celles situées au centre des Villas et révèlent par quelques détails, la gentrification très avancée du quartier où, depuis une vingtaine d’années, les "classes populaires" ont progressivement disparu en raison de l’augmentation des prix de l'immobilier. On constate aussi que les nouveaux propriétaires ont réalisé quelques aménagements pour apprivoiser les lieux à leur propre mode de vie, et ont de ce fait modifié un peu l’homogénéité initiale de la Villa.

    Plus loin, avant le 59 de la rue de la Mouzaïa, on trouve l'un des trop rares commerces du quartier: le restaurant-concerts associatif : "Les petits joueurs".

    Villa des Lilas, il n'y a aucune inquiétude à se faire face au développement tentaculaire des villes qui finissent par engloutir leurs habitants. Ici on reste dans une cité à l'échelle humaine, dans une ville tout en poésie qui permettrait même de faire sienne cette citation d'Alain Robbe-Grillet: "Le réel est toujours plus étrange, plus beau, plus irréaliste que cette image conventionnelle et sans surprise qu’on cherche à nous imposer."


    >> La Mouzaïa sur Parisperdu

     

     


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