• Le futur est derrière nous car on ne le voit pas venir.

    Le futur est derrière nous car on ne le voit pas venir.

    Rue du Retrait, Paris 20ème.(juin 1999)

     

    La langue Tuvan, est parlée aux confins de la Russie et de la Mongolie par quelques 200 000 personnes. Les Tuvans croient que le passé "burungaar" est devant eux, tandis que le futur "songgaar" serait derrière eux. Ainsi les enfants qui sont naturellement tournés vers l’avenir, l'imaginent difficilement et l'on pourrait même dire qu'ils ne le voient pas venir puisqu'il est derrière eux …

     

    La vision européenne est toute différente, avec l’avenir devant, et le passé derrière…
    Mais, quoiqu'il en soit, comme l'écrit le poète Jean-Baptiste Massilon:  "Le passé doit être pour chacun d'entre nous une instruction continuelle". Et c'est exactement ce que Parisperdu s'efforce de cultiver.

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