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Léa, Léo et le p'tit Lu.
Villa de l'Adour - Paris 19e
Il ne faut pas hésiter à pousser la grille qui isole la villa de l'Adour du reste de la ville, car ... vous allez alors accéder à un monde totalement suranné.
De petits immeubles des années 50 se font face, de part et d'autre de cette rue privée, et enserrent une longue cour pavée, coupée en son centre par un caniveau.
Pour les enfants de la villa, c'est là, un terrain de jeu idéal ... à l'abri des regards, en toute sécurité, loin de l'agitation du quartier.
Et en cette fin d'après-midi, seule, au centre de la cour ... Léa est là !
Elle pousse son landau miniature dans lequel se trouve Léo, son baigneur en celluloïd qui lui, doit bien avoir ... 30 ou 35 ans, c'est-à-dire 5 à 6 fois l'âge de Léa !
C'est l'heure du "quatre heures" aussi Léa grignote-t-elle avec appétit, un p'tit Lu ... en commençant, comme il se doit par les quatre "oreilles" du célébrissime biscuit nantais ...
Léa, Léo et le p'tit Lu, ce soir l'harmonie semble parfaite villa de l'Adour ... car ici, en modifiant à peine son appellation, on pourrait se croire: villa de l'Amour ...
>> Les quatre oreilles du petit LU.« Garnis et meublés ... "Une chambre en ville" (2/3)Garnis et meublés ... "Une chambre en ville" (3/3) »
Tags : urbain, vision, gamin(e)(s)
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Commentaires
3SylvieJeudi 27 Mars 2008 à 10:41J'ai adoré
J'ai adoré "Léo, Lea et le p'tit Lu" : complètement craquant ... J'avais aussi beaucoup aimé les diagonales convergentes de la rue Gasnier Guy dans "Lieux retrouvés" ... Merci pour toutes ces bonnes surprises de ParisPerdu!2LaurentLundi 24 Mars 2008 à 22:58
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Bravo pour ce site très classe !