• Rue Watt : atmosphère unique .

     


    Inhabitée et rarement fréquentée, la rue Watt a de tout temps suscité l'imagination des photographes, des poètes et des écrivains - parmi lesquels : Henry Miller, Léo Mallet , Boris Vian qui lui a consacré une chanson et Jacques Tardi qui l'a représentée dans ses bandes dessinées.

    Aujourd'hui, depuis les réaménagements du quartier et des voies ferrées qu'elle traverse de part en part, la rue a perdu son aspect pittoresque. La pérennité de la "mythique" rue Watt n'est pas assurée: elle ressemblera de plus en plus à un banal passage souterrain.

    Son atmosphère unique (avec ses raies de lumière zénithale associées à de ponctuels éclairages blafards) a déjà hélas totalement disparue.


    >> En savoir plus sur Léo Mallet, le père du célèbre détective Nestor Burma

    >> Ecouter la chanson de  Boris Vian

    >> La rue Watt illustrée par Jacques Tardi

     

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  • Commentaires

    2
    Samedi 20 Mai 2006 à 14:26
    écouter !!
    j'adore la chanson de boris mais cd perdu, et je n'arrive pas en cliquant sur le lien ... tristissime !
    1
    chably
    Vendredi 3 Mars 2006 à 12:54
    glauque
    la rue Watt est glauque.C'est étrange, parfois c'est coupe gorge.D'ailleurs je ne l'emprunterais pas la nuit. Encore un espace de la ville intact ou presque. Ben oui au dessus, il y a le quartier Tolbiac-Masséna qui se construit. mais son avenir est incertain. C'est unique à Paris, ça vaut le détour.ça vous amene à des sentiments étranges.
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