• Un nouveau livre pour les amoureux de Paris, de son architecture, de ses perspectives, et de son charme intemporel ...

    Revivez le Paris de 1950 à 1970, vu d'avion et surtout ... avant le périph, le centre Pompidou, la tour Montparnasse et pleins d'autres bizarreries Pompidoliennes ...

     

    >> Le tour de Paris, promenades aériennes de Roger Henrard

    Les Halles de Baltard 1955 - Photo : ©Roger Henrard


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    Les murs l'ont largement plébiscité ... et nous avons enfin une femme présidente !

    Avec la présidente Miss-Tic, nous allons maintenant pouvoir nous poser les questions essentielles: « Où suis-je ? Où vais-je ? Dans quelle étagère ? ».

      


    >> Miss-Tic déjà dans Parisperdu

      


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  • Vendredi 2 mars 2007, Parisperdu est le blog du jour, sélectionné par Site-du-Jour.
    Quotidiennement, ce site web découvre et fait partager à ses lecteurs un site de la blogosphère .
    Merci à Nathalie Michallon et à la rédaction du Site-du-Jour

     

    >> En savoir plus ...

     


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  • Ce Break DS, stationné ici sur un trottoir de la rue Piat, était - en 1974 - la cible symbolique favorite de  René Dumont, premier candidat écologiste à la présidentielle.

     Il fustige en effet "la dictature de l'automobile" et va même jusqu'à  réclamer l'interdiction des autoroutes qui "sont en train de défigurer toute la France".
    Entre deux meetings champêtres, René Dumont fait invariablement une promenade à bicyclette et répète inlassablement une formule restée fameuse: "La voiture, ça pue, ça pollue, ça rend con".

    Aux présidentielle de 1974, il obtiendra 1.32% des voix. 

    >> Voir la campagne électorale pour les élections présidentielles du candidat écologiste René DUMONT,  ... [Vidéo : source INA©]
     

     

     

     

     


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  • Cette photo est publiée en hommage à Eustache KOSSAKOWSKI qui, au Printemps 1971, réalisa la série  "6 mètres avant Paris". A cette époque, KOSSAKOWSKI a le regard attiré par les écriteaux indiquant la limite administrative de Paris. Il décide de photographier toutes les pancartes en tôle ou en ciment portant le nom de la capitale.

    Le reportage comptera 159 photos, dont l'objectivité repose sur la distance identique adoptée à l'égard de chaque écriteau (6 mètres), sur la neutralité générée par la prise frontale et le cadrage qui sont invariables.

    En réalité, KOSSAKOWSKI n'a pas toujours pu, à cause d'impératifs propres aux sites, se placer à une distance de 6 mètres devant chaque panneau. C'est donc au moment de l'agrandissement des clichés, qu'il pallie ces variations.

    En 1977, quatre photos de la série seront exposées dans le cadre de l'exposition "Archéologie de la ville" au Centre Beaubourg, où les 155 autres photographies, mises en dépôt, ont depuis disparu.

    Malgré les aléas que connurent les tirages originaux, cette œuvre originale de KOSSAKOWSKI lui permis de se faire connaître en France et d'y vivre durant le reste de son existence.

    Aujourd'hui, refaire cet exercice est  totalement impossible. A quelques très rares exceptions près, les panneaux "Paris" ont tous disparu des portes d'entrée de la capitale : comme pour mieux signifier que Paris déborde maintenant sur les banlieues  ... à moins que ce ne soit l'inverse ... !



    >> P
    lus sur « 6 mètres avant Paris ».



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