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Les Sables d'Olonne, août 1959 © Atelier Robert Doisneau
Comme chaque année, à l'occasion des vacances d'été, Parisperdu fait une pause.
Nous vous donnons rendez-vous le 28 août 2023.
D'ici-là, Parisperdu vous souhaite de très bonnes vacances !
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Cette exposition réalisée et conçue par Tempora en étroite collaboration avec Magnum Photos
L’exposition « Elliott Erwitt. Une rétrospective » rend hommage à l’un des photographes les plus importants du XXème siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954. On peut y voir un ensemble de 215 photographies en noir et blanc et en couleur.
Photographe américain né à Paris en 1928, Elliott Erwitt est à la fois : peintre de l’intime, photojournaliste, photographe publicitaire, réalisateur et portraitiste de personnalités comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles de Gaulle, Ernesto “Che” Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev, …
L’exposition rend compte de la diversité des sujets abordés et de l’unité profonde de l’œuvre. Erwitt a une manière d’immortaliser des moments de la vie quotidienne avec un regard qui n’appartient qu’à lui, mélangeant humour et émotion.
L'Exposition montre également les coulisses du travail du photographe avec l’espace "Fabrique" dans lequel se trouvent des objets destinés à évoquer son studio new-yorkais et l’étendue de ses activités en lien avec la photographie.
« En réalité, dire qu’il y a de l’humanité dans mes photos est le plus grand compliment qu’on m’ait jamais fait. » disait Elliott Erwitt.
>> Les photographes humanistes sur Parisperdu.
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Images à la sauvette (The Decisive Moment en version américaine) est l’un des plus grands livres de photographies jamais publié. Sorti en 1952 aux éditions Verve, il regroupe les photographies réalisées par Henri Cartier-Bresson durant les vingt premières années de sa carrière. C’est, en 1952, une monographie du meilleur de l’oeuvre d’Henri Cartier-Bresson, publiée chez un éditeur d’art, avec une couverture originale de Matisse.C’est aussi une large présentation de son art, où est forgée cette notion de « moment décisif » qui donnera donc son titre à l’édition américaine de l’ouvrage : le moment où tous les éléments s’assemblent pour produire une image, non pas le sommet d’une action, mais un sommet émotionnel et formel, comme l’illustre la célèbre photographie d’un homme sautant au-dessus d’une flaque sur le pont de l’Europe avec en fond la gare St Lazare.
Ce livre demeure une référence incontournable pour un grand nombre de photographes.
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22-24 Rue Laurence Savart_ Paris 20ème; Photo N& B: juillet 1996; Photo Couleur: juillet 2015
Dans la rue Laurence Savart, la vie s'écoule en pente douce... une rue propice aux rencontres, aussi belles qu'inattendues. Le photographe Willy Ronis en avait fait l'expérience lorsqu'un jour, en descendant la rue, il croise un vitrier avec son lot de carreaux de verre sur le dos.Maintes fois Ronis m'a parlé de la rue Laurence Savart, l'une de ses favorites dans le secteur de Belleville-Ménilmontant. Quand je lui fais remarquer que la rue, encore aujourd'hui, a peu changé, qu'on y retrouve les mêmes façades, la même lumière qu'à son époque... il fait la moue et me dit : « Oui mais cet immeuble qui barre la rue dans sa partie basse, quel dommage... ». Il faut bien reconnaître que la perspective n'est plus la même et que cette trouée, qui était comme un appel vers un ailleurs incertain, fait terriblement défaut.
Aujourd'hui, dans la rue, le côté résidentiel a remplacé ce qui fut populaire, qui lui-même avait pris le pas sur le rural : toute une chaîne successive de prédation sociale, un écosystème historique en quelque sorte ! D'ailleurs, n'est-ce sans doute pas un hasard si les écologistes font ici - à chaque élection - leur meilleur score parisien !
Au final, dans la rue Laurence Savart, peu de choses ont changé... et l'on se retrouve confronté - aujourd'hui - aux mêmes façades, aux mêmes portes de garage, aux mêmes maisonnettes... que celles aperçues sur la célèbre photo de Ronis.>> La rue Laurence Savart déjà sur Parisperdu.
>> La rue Laurence Savart, 1947 par Willy Ronis.
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Pont Saint-Michel - Quai des Orfèvres, Paris 1er
Au quai d'embarquement de la péniche "Paris en Scène" la vue est imprenable sur le quartier de St Michel. Mais encore faut-il trouver le point exact d'embarquement car la signalétique est à peine lisible tant elle est couverte de tags et autres graphes. Et ça c'est Paris, … salit, saccagé, défiguré, ici comme partout ailleurs
Alors bonne croisière sur la Seine !>> Voir aussi : "Paris saccage"
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